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Ty Segall

L'enfance de Ty Segall ressemble à celle de n'importe quel rejeton de San Francisco : il pratique le surf, le skate board et écoute inlassablement du rock garage et psychédélique.
À une différence près : doté d'une curiosité et d'une énergie étonnantes dès son plus jeune âge, il écrit très vite sa propre musique.Du collectif au solo Epsilons, Superstitions, Black Time, Party Fowls...
C'est avec ces jeunes groupes de rock indépendant de la région, notamment de Laguna Beach, que Ty Segall s'illustre comme auteur-compositeur-chanteur et guitariste.
En 2007, il publie un premier album sous son seul nom, Horn the Unicorn, sur le label indépendant Wizard Mountain.
L'année suivante voit la sortie d'un deuxième opus, Ty Segall (Castle Face Records).
Mais c'est en 2009 avec Lemons (Goner Records) que Ty Segall commence à se faire connaître en écopant d'une enthousiaste retombée médiatique.
Petit génie du rock indie Outre d'autres incursions en collectif, il co-écrit l'album Reverse Shark Attack (2009) avec un ami de longue date, Mikal Cronin.
Ses albums suivants, Melted (2010), Live in Aisle Five (2010) ainsi que Goodbye Bread (2011) sont tous soumis aux bons soins du label de Memphis, Goner Records, spécialisé dans le son garage.
Ty Segall fait désormais partie du paysage rock alternatif américain aux côtés de The Black Lips ou The Soft Pack.
Ce qui ne l'empêche pas de multiplier les projets, tous animés par la même passion d'un rock abrupt et néanmoins sensible.Promesses prolifiques En 2012, à l'âge de 25 ans, il est à l'origine de pas moins de trois albums.
D'abord Hair, avec le musicien White Fence, de son vrai nom Tim Presley, publié en avril exclusivement au format cassette, support favori de Segall.
S'ensuit en juin Slaughterhouse avec son propre groupe de scène (constitué de Charlie Moonheart, Emily Rose Epstein et du fidèle Mikal Cronin), le Ty Segall Band.
Puis son sixième album solo baptisé Twins pour le mois d'octobre.
Entre temps, le musicien s'est fait repéré par le fameux label Drag City (Bill Callahan, Richard Bishop...) qui semble bien décidé à exposer sous le feu des projecteurs cet artiste hyperactif.
Devenu la coqueluche de la presse rock (il fait même la couverture de Rock&Folk), Ty Segall continue sur sa lancée avec l'album Sleeper, étonnament semi-acoustique, sorti en août 2013.
À la même époque l'année suivante, les dix-sept titres de son successeur Manipulator marquent le retour de l'enfant terrible à l'électricité du rock garage.

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