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Bugge Wesseltoft

C'est dans la petite commune norvégienne de Skien, situé à une centaine de kilomètres de la capitale Oslo, que grandit Bugge Wesseltoft.
L'enfant né à Porsgrunn le 1er février 1964 sait à peine marcher quand il commence à découvrir le piano familial, et prend ses premières leçons à l'âge de sept ans avant de poursuivre en autodidacte.
Très tôt sensible à l'apprentissage musical et aux instruments, Bugge (prononcer « Boogie ») Wesseltoft tâte également du tuba et des percussions dans la fanfare de l'école.
Initié au jazz par un professeur, le jeune Wesseltoft s'éprend de rock à l'adolescence et joue même un temps dans un groupe punk.
Après avoir enchaîné les formations amateurs, il se tourne vers les musiques électroniques et investit dans un synthétiseur et un piano électrique.
En 1984, le musicien autodidacte s'installe à Oslo et fréquente certaines formations de jazz comme U & Z ou Et Cetera avant de croiser la route du groupe Talisman (1988).
Pianiste reconnu au niveau local, Bugge Wesseltoft accompagne le Knut Risnaes Quartet et finit par attirer l'attention du bassiste Arild Andersen qui l'engage dans son groupe et de la star du jazz norvégien, le saxophoniste Jan Garbarek, qui l'invite sur l'album I Took Up The Runes (1990).
En 1991, le pianiste au crâne lisse rejoint le quartette de Nils Petter Molvaer, puis enchaîne les séances pour Terje Rypdal ou le Jon Eberson's Jazzpunkensemble.
En 1993, Bugge Wesseltoft reçoit sa première commande émanant du Festival Vossa Nova et compose A Little War Story, joué par une pléiade de noms : Rypdal, Molvaer, Jon Christensen, Rune Arnesen...et la chanteuse Sidsel Endresen avec qui il forme un duo étonnant, basé sur la reprise de standards et une large part de composition et improvisation sur le projet suivant, l'album Nightsong (1994).
Adepte des mélanges insolites entre le jazz et l'electro, le pianiste est à l'origine d'un courant amené à être baptisé « nu-jazz ».
L'album It's Snowing On My Piano (1997) précède la création du label Jazzland sur lequel sort le manifeste New Conception of Jazz.
L'enregistrement acclamé par la critique reçoit un Spellemannprisen (équivalent des Victoires de la musique) et lance la carrière internationale de Wesseltoft.
En 1998 suivent Sharing sous son nom et Duplex Ride avec Sildsel Endresen (à nouveau récompensé).
Régulièrement invité en studio, Bugge Wesseltoft pianote pour Billy Cobham, Laurent Garnier ou les séances collectives de son label Jazzland.
Il participe également à des albums de Beady Belle et Erik Truffaz.
Le compositeur du morceau « Existence » (repris dans le film Extension du domaine de la lutte de Philippe Harel) obtient un troisième Spellemannprisen en 2002 pour Out Here.
In There, nouvelle collaboration en duo avec Sidsel Endresen suivie de l'album en public Live (2003), Film Ing (2004) et Playing (2009).
En 2011, ce grand défricheur s'associe au compositeur allemand Henrik Schwarz pour l'album Duo.
L'année suivante, c'est en solo qu'il revient avec Songs.

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