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Da Silva

Certains artistes choisissent de n'utiliser que leur prénom comme nom de scène.
Da Silva fait partie de ceux qui optent de n'user que de leur nom de famille: né en 1976 à Nevers (Nièvre) dans une famille d'immigrés portugais, Emmanuel Da Silva grandit dans un environnement provincial peu exaltant à ses yeux.
Dès l'âge de douze ans, pour tromper son ennui, l'adolescent se rapproche de l'univers musical et, fan de groupes comme The Ramones, commence à avoir des velléités de compositeur: «j'adorais leurs pompes, leurs blousons et leur musique alors je me suis acheté une guitare électrique et j'ai commencé à faire du punk».
Première étape Intégrant le groupe Mad Coakroaches, le jeune Emmanuel tente de faire son trou dans une scène punk-rock française alors à la fois encombrée et marginale.
Mais le punk n'est qu'une première étape dans l'évolution d'un artiste tenté par les expérimentations et l'éclectisme fusionnel.
En 1991, avec des anciens membres des Tambours du Bronx, il fonde un nouveau groupe, Punishment Park; mais il ne s'agit que d'une étape dans le parcours d'un musicien vibrionnant qui cherche encore son style.
C'est ensuite une incursion dans la musique électronique, qu'il pratique sous le pseudonyme de Mitsu.
Autant de métamorphoses et d'incursions musicales pour un artiste encore jeune, qui va finir par trouver sa voie en tant qu'artiste solo, abandonnant les collectifs et les pseudonymes pour s'affirmer sous son véritable nom, dans un style pop-rock acoustique assez voisin de celui de Miossec ou Cali.
C'est ce même Cali qui, en 2004, lui donne sa chance décisive en le laissant assurer ses premières parties.
L'année suivante, entré dans l'écurie du label tôt Ou tard, Da Silva sort son premier album, Décembre en Eté, dont se détache tout particulièrement le morceau «La Chance».
Considérant que le passage du punk rock à gros son à la guitare acoustique suit la logique d'une même inspiration, Da Silva devient le nouveau visage d'une chanson française dont la sensibilité et l'élégance d'écriture n'enlève rien à la qualité rock.En 2007, il propose son deuxième album, De Beaux Jours à Venir, qui vient confirmer les espoirs mis dans cet artiste à la frontière des genres.
Son troisième opus, La Tendresse des Fous, revient sur le passé rock du chanteur, tout en conservant les arrangements de Joseph Racaille et la production de Dominique Blanc-Francard.
Il comporte pour premier extrait « Le Carnaval ».
La Distance en janvier 2012 confirme que Da Silva cabote avec bonheur le long des côtes de la nouvelle chanson française.
L'absence de tube pénalise La Distance qui au final fait moins bien en terme de ventes que La Tendresse des Fous.
Toujours en 2012, Da Silva participe à plusieurs titres de l'album L'Amour et Moi de Jenifer.
Da Silva enregistre en dix jours les dix chansons de Villa Rosa qui sort en novembre 2013 et marque une rupture stylistique dans sa musique avec une approche pop plus légère que lors de ses quatre précédents albums.

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