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Arcade Fire

Régine Chassagne nait le 18 août 1977 à Saint-Lambert, près de Montréal.
Ses parents haïtiens s'exilent au Québec à l'arrivée au pouvoir de François Duvalier.
Dès son plus jeune âge, leur fille expérimente avec talent le chant, la guitare, le piano, l'accordéon...faisant même partie d'un groupe proposant de faire revivre la musique de la Renaissance.
À des milliers de kilomètres de là, vit Win Butler, né le 14 avril 1980 au Texas.
Il bénéficie lui aussi d'un excellent apprentissage musical, notamment grâce à son grand père Alvino Rey (1907-2004), célèbre guitariste de jazz.
En 2000, il part vivre à Montréal dans le but d'intégrer la prestigieuse université McGill.
De son côté, Régine Chassagne a terminé ses études à Concordia University.
Lors d'une soirée étudiante, celle-ci séduit Butler en reprenant des standards de jazz.
Le coup de foudre est immédiat, et ils décident de réunir également leurs talents musicaux.
Et, mieux encore, de créer un groupe de rock.
The Arcade FireQuelques mois plus tard, ils font la connaissance de l'organiste Richard Parry et de la violoniste Sarah Neufeld.
Ceux-ci sont déjà en train de fonder le groupe The Bell Orchestre, mais ils sont cependant séduits par le projet du couple.
Puis ils recrutent le multi instrumentiste Timothy Kingsbury, qui deviendra le bassiste du groupe, puis le petit frère de Win, Will Butler, aux percussions.
Ainsi naît The Arcade Fire, tandis que Win Butler et Régine Chassagne se marient en août 2003.
Le groupe se lance dans l'enregistrement d'un premier maxi prometteur, The Arcade Fire (2003), puis d'un album.
Il leur manque encore un batteur, mais Howard Bilerman leur prête main forte en studio, avant que Jeremy Gara ne devienne le batteur officiel du groupe. Le début de l'année 2004 ne commence pas sous les meilleurs auspices puisque les jeunes mariés Butler doivent faire face à de nombreux deuils familiaux, qui influenceront jusqu'au titre de l'album: Funeral.
En mai 2004, ils signent leur premier contrat chez Merge Records.
Funeral est publié en septembre 2004 aux Etats-Unis, et connaît un succès immédiat.
Le label Rough Trade ne s'y trompe pas et décide de les distribuer en Europe dès le début de l'année 2005.
Le vieux continent tombe aussi sous le charme des mélodies baroques, mêlant aussi bien pop et rock alternatif, austérité et passion.
David Byrne et David Bowie, entre autres, ne taisent pas leur admiration pour le groupe.
The Arcade Fire se lance dans une tournée internationale triomphale tout en étant nominé aux Grammy Awards.
Le groupe se produit avec succès dans des festivals prestigieux comme celui de Coachella en Californie.
Chassagne et Butler participent également au projet Do They Know It's Hallowe'en? (2005) de l'UNICEF, aux côtés de Beck et de Devendra Banhart. Après la réédition du maxi The Arcade Fire (2005), il est temps de passer au deuxième album.
Enregistré dans leur nouveau studio, une église désaffectée des environs de Montreal, il n'est pas loin d'être attendu comme le messie.
Sa sortie en 2007 ne connaît cependant pas la même fortune que son prédécesseur.
Malgré un single efficace, «Black Mirror», très inspiré de David Bowie, l'effet de surprise s'est plus le même, et l'on parle souvent de Funeral II à son propos...
On ne peut toutefois pas parler d'échec, le public d'Arcade Fire ne cessant de croître.
Les tournées du groupe sont toujours aussi suivies, et le Canada reste fier de ses rejetons: Neon Bible a reçu en 2008 le Juno Award de l'album alternatif de l'année.
Sorti le 2 août 2010, le troisième opus des Québecois est précédé du single « Month of May » et d'un concert début juillet au Casino de Paris avec quelques titres dévoilés en exclusivité.
L'album The Suburbs sort sous huit pochettes différentes et bénéficie d'un accueil chaleureux de la critique.
Entre folk agité et rock musclé, le groupe dresse le panorama d'un passé vécu en banlieue et chargé de souvenirs.
Trois ans plus tard, c'est par une longue mise en condition de tags urbains en affiches mystérieuses que le groupe canadien aborde la sortie de Reflektor (28 octobre 2013), double album produit dans le studio new-yorkais de James Murphy (LCD Soundsystem), composé d'une face electro rock réjouissante et d'une contrepartie plus expérimentale.
Le premier extrait accrocheur « Reflektor » filmé par Anton Corbijn voit la participation d'un admirateur de la première heure nommé David Bowie.

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Morceaux populaires

The Suburbs

11

Reflektor

9

Intervention

4

We Used To Wait

4

Cold Wind

2

Rebellion

2

Speaking In Tongues

2

Reflektor (Radio Edit)

2

Ready To Start

1

Reflektor

1